Education - marguerite-christine-swirczewska.com

Marguerite-Christine Swirczewska
Aller au contenu
Quand j’étais petite, mon père m’emmenait souvent à ses cours à l’école polytechnique de Varsovie. Un jour il me dit la phrase suivante : ’’La beauté passe, une belle silhouette se transforme avec le temps. Mais ce qui reste, c’est votre CONNAISSANCE’’.
Depuis, je peux dire que cette phrase est devenue ma devise de vie. A cette époque j’étais curieuse de tout ce qui m’entourait et tout particulièrement des gens que je rencontrais.
C’est en 1961, à l’âge de 16 ans que j’ai obtenu mon baccalauréat au lycée Maria-Curie Sklodowska à Saska Kepa.
Dans les livres ‘’Ladies of Saska Kepa’’, les anciens élèves rapportent avec beaucoup de respect nos relations avec nos professeurs ‘’d’avant-guerre’’ et le rôle que le lycée a joué dans l’élaboration de notre vision du monde, combien compliqué peu de temps après la seconde guerre mondiale ainsi que les changements inattendus qui ont eu lieu en Pologne, devenue depuis populaire.
J’ai ensuite poursuivi mes études à l’Université de Varsovie à la faculté de pédagogie.
C’est à ce moment que j’ai rencontré ce grand pédagogue, le professeur Czeslaw Czapow qui fut le premier à ‘’m’initier aux secrets du psychodrame’’ et partagé avec lui mes découvertes françaises dans ce domaine, car j’ai eu cette chance d’être en stage au centre de la jeunesse difficile en France situé dans la ville de Vaucresson et d’apprendre les bases de cette technique.
J’ai été très heureuse lorsque le professeur en a parlé dans la préface de son livre intitulé ‘PSYCHODRAMA’.
A son tour, ce stage m’a ouvert des opportunités de pouvoir étudier à l’Université de Paris-Nanterre durant deux ans de préparation à un doctorat que malheureusement je n’ai pas défendu car… je suis tombée amoureuse.
Et puis, ai-je pensé, il y a différents cours à COLUMBIA UNIVERSITY à New-York/marketing/
Sinon chez l’épouse du fondateur de psychodrame ZERKA MORENO, à son académie près de New-York.

Retourner au contenu